Thursday, June 02, 2005

Conventions

Tout ce qui est en italique est une expression ou même un mot allemand inséré dans le texte rédigé en français. Les exemples en allemand tirés des extraits de presse sont placés à l’écart du texte et séparé par une ligne. Nous avons parfois écrit en gras les mots des citations qui nous paraissaient importants pour mieux les faire ressortir.
Quelques notes en bas de page expliquent la signification de termes linguistiques ou lexicométriques complexes pour aider éventuellement les lecteurs. Ces définitions sont originaires du glossaire du manuel d’utilisation de Lexico 3.
Les titres d’ouvrages sont en italique dans les notes en bas de page tandis qu’ils sont simplement soulignés dans le reste du mémoire. S’il s’agit d’un titre en langue allemande, il est en italique (à cause de la langue étrangère) et souligné.
Dans le corpus, nous avons fait la distinction entre le verbe « sein » et le pronom possessif en plaçant un petit « ° » devant les verbes. Cette distinction a été utile lorsque nous avons dû faire le comptage de tous les pronoms possessifs en évitant de compter les verbes en même temps.
Il y a deux sortes de tableaux, les uns répertorient les lexèmes des groupes, leurs éventuels affixes et les substantifs de leurs entourages lexicaux et les autres comptabilisent le nombre de fois que paraissent ces derniers dans le corpus. Ces tableaux A, B, C, D, E et F illustrant l’analyse de la première partie de ce mémoire sont situés à la fin dans l’annexe à partir de la page 130.
Les graphiques présentant la fréquence de lexèmes ou groupe de formes en fonction du temps par exemple sont situés de la page 136 à la page 140. Il est important de noter que nous avons présenté les fréquences absolues ou relatives. Lors du travail de recherche on a comparé le résultat en fonction des deux options de fréquence et il s’est avéré que l’allure des courbes différait peu dans les deux cas. Ceci tend à prouver que les calculs statistiques qui ont été fait l’ont été sur la base d’un corpus de longueur suffisante. Il convient maintenant d’expliquer la différence entre une fréquence absolue et relative. Dans le premier cas, il s’agit du nombre d’occurrences dans la partie du texte. Dans le second cas, c’est le nombre d’occurrences en relation à la longueur de la partie du texte[1].
[1] André Salem, Lexico3, Toolkit for Textual Statistics, p. 26.

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